Lorsque j’ai rencontré Reun pour la première fois, il relevait consciencieusement un registre paroissial.
Un à un, les noms des disparus s’alignaient sur son cahier.
Reun tissait des liens ; il ouvrait un passage entre notre monde oublieux et ce monde oublié.
Aujourd’hui, son nom côtoie celui de ceux qu’il vénérait par son travail assidu.
A nous de nous montrer ses dignes héritiers.
Son nom reste gravé dans nos cœurs.
Avec reconnaissance,
Tancrède